Faire de l’entraînement mental c’est s’exercer à mieux se représenter les éléments qui nous entourent : situations, choses et gens, images, textes, idées, tout le milieu dans lequel nous vivons.
C’est aussi s’entraîner à saisir des relations entre ces éléments qui se juxtaposent, s’engendrent, s’opposent ou se transforment les uns les autres.
C’est, à la longue, connaître et contrôler le mécanisme de ces opérations, de représentation et de saisie des relations qui caractérisent le travail mental volontaire dans le milieu de vie quotidien.
C’est donc, aussi, avoir une conscience plus nette, plus vive, plus concrète, des immenses possibilités de croissance de la pensée personnelle.
Quelle méthode définie y a-t-il à la base de cet entraînement mental ? A quels besoins répond-elle ? Comment évolue-t-elle ?